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L’étude de l’anthropologie et de l’histoire de la dette nous apprennent que ce que nous appelons “Argent” n’est en réalité que la relique d’un outil d’asservissement et de conquête inventé par une classe d’individus violents et prédateurs ayant toujours préféré dominer plutôt que produire.
Ces gens sont toujours là. Cette forme d’argent-là existe toujours.
Ce système de collusion entre le contrôle du moyen d’échange universel et la contrainte par les armes ne peut se maintenir que par sa nature parasitaire et coercitive : il a besoin à la fois de l’aspirateur de richesse de la création monétaire par l’endettement (détenu par le cartel bancaire) ET du monopole de la violence physique (détenu par l’Etat).Pour abolir ce système, nous devons :
1. Prendre conscience de l’omniprésence de la menace physique bien réelle qui accompagne encore aujourd’hui son fonctionnement et qui s’exerce de manière implicite et permanente (essayez p.e. de refuser de payer vos impôts, ou de vous réunir à la Défense pour en parler…)
2. Comprendre que la peur permanente qu’entretient ce système entraîne inévitablement une division profonde au sein de la société, et génère des réactions de repli, de lutte et de concurrence féroce entre ses membres.
3. Etudier, comprendre et mettre – ou remettre – en place les systèmes de crédit réciproque qui l’ont précédé, ou parfois remplacé dans le passé. Ces systèmes étaient volontaires, équitables, et contrairement au système imposé qui nous asservit actuellement, généraient parmi les sociétés qui les adoptaient des comportement d’entraide et de soutien réciproques naturels.
Ces gens sont toujours là. Cette forme d’argent-là existe toujours.
Ce système de collusion entre le contrôle du moyen d’échange universel et la contrainte par les armes ne peut se maintenir que par sa nature parasitaire et coercitive : il a besoin à la fois de l’aspirateur de richesse de la création monétaire par l’endettement (détenu par le cartel bancaire) ET du monopole de la violence physique (détenu par l’Etat).Pour abolir ce système, nous devons :
1. Prendre conscience de l’omniprésence de la menace physique bien réelle qui accompagne encore aujourd’hui son fonctionnement et qui s’exerce de manière implicite et permanente (essayez p.e. de refuser de payer vos impôts, ou de vous réunir à la Défense pour en parler…)
2. Comprendre que la peur permanente qu’entretient ce système entraîne inévitablement une division profonde au sein de la société, et génère des réactions de repli, de lutte et de concurrence féroce entre ses membres.
3. Etudier, comprendre et mettre – ou remettre – en place les systèmes de crédit réciproque qui l’ont précédé, ou parfois remplacé dans le passé. Ces systèmes étaient volontaires, équitables, et contrairement au système imposé qui nous asservit actuellement, généraient parmi les sociétés qui les adoptaient des comportement d’entraide et de soutien réciproques naturels.
(Voir entre autres Graeber (2011), Lietaer (2011), Holbecq-Derudder (2010-2012), Laborde (2012))
Le revenu de base à distribution symétrique est l’un de ces systèmes. Il permet à chacun d’émettre son propre crédit et de le partager avec tous. C’est l’idée du revenu de base monétaire, qui n’a rien à voir ni avec un système de redistribution obligatoire, ni avec un centre de pouvoir émetteur exclusif de crédit. C’est l’idée que la #TRM présente.
C’est à ma connaissance la seule proposition qui respecte à la fois la liberté de produire et d’échanger ET le principe de non-agression.
Gérard Foucher
>>> Source & vidéo sur : À quoi sert vraiment la monnaie ?
L’histoire d’une domination :
Comment est née la monnaie, à quelle époque, pour quelle raison ? Par qui a-t-elle été inventée et distribuée ?
Toutes ces questions nous amènent à la véritable raison d’être du système monétaire : établir un système hiérarchisé de domination, d’exploitation et de domestication.
Toutes ces questions nous amènent à la véritable raison d’être du système monétaire : établir un système hiérarchisé de domination, d’exploitation et de domestication.